Augusta Thomson a enquete pour le lecteur occidental dans le quotidien des femmes mongoles – ce qu’elle a surpris, concernant le Huffington Post, qui est une publication Sur les forums americaine, une sorte de blog, qui possi?de recemment publie un article d’Augusta Thomson sur la vie des femmes mongoles – telle qu’elle l’a vue, apres avoir parle au milieu des heroines de son essai en Mongolie. Il s’agissait de la etude a grande echelle, qui a abouti a une image assez objective de ce qui se marche dans le pays Actuellement et surtout dans les familles mongoles ordinaires, en relations entre hommes et jeunes filles mongoles, dans la societe.
Augusta Thomson reste une bloggeuse avec un baccalaureat en archeologie et en anthropologie de l’Universite d’Oxford, actuellement boursiere Fulbright au Ladakh, en Inde.
“Je m’appelle Nomine, j’ai quarante-deux annees . “
Nomine est la trente-cinquieme femme interviewee via une equipe lors tout d’un voyage de cinq semaines au desert de Gobi. Notre voyage a ete entrepris Afin de etudier comment les femmes et les filles mongoles utilisent la technologie virtuel.
Di?s que nous entrons dans la tente, elle s’assoit et prepare un remarquable chaudron de the au lait. Elle est la mere de trois enfants qui passent alternativement dans un camp d’ete a l’exterieur de Dalandzadgad, le centre aimag dans la province ?mn?govi (1 aimag (mongol : аймаг) reste une division administrative de premier niveau en Mongolie (equivalent de « province ») ), et dans un appartement a Oulan-Bator, ou ses bambins vont a l’ecole en hiver. Pendant qu’elle raconte, ses 2 filles jouent a des jeux sur leurs smartphones, s’interrompant quelquefois Afin de ecouter leur mere parler.
Nomine reste fiere de le heritage culturel de nomades. Bien qu’elle ait etudie a l’universite et vive dans le confort de la ville en hiver, elle reste heureuse quand elle bosse a la campagne, s’occupant de le betail. En ete, sa life reste riche et productive.
« En Mongolie, les femmes sont les principales productrices de biens materiels et les pourvoyeuses en aliment, en particulier parmi la population rurale. En regle generale, elles paraissent aussi plus instruites et mieux nanties financierement que les hommes, bien que l’egalite soit le resultat de la culture a predominance patriarcale. »
Les femmes avec qui nous communiquons sont accueillantes et genereuses: nous etudions le paysage de Gobi, en ecoutant nos histoires racontees sous nos vapeurs chaudes du the au lait fumant. Ces histoires nous rappellent nos objectifs de notre week-end, parce que nous croyons en votre combinaison de femmes et de connaissances, et nous savons que la Mongolie est une terre de femmes exceptionnellement grandes.
Cette force est quelque chose qui m’a fascine chez notre traductrice, elle s’appelle Goundegmaa. Deux mois plus tot, quand Lara, une officier canadien, ainsi, moi avons prepare notre projet de recherche, nous avons parle avec plusieurs traductrices potentielles. Par consequent, nous avons deniche Gandegmaa, ou Gundia, sous la direction du Canada. Apres des entretiens approfondis sur Skype, nous avons realise qu’il serait difficile de denicher une autre candidate avec votre anglais aussi bon et nous lui avons rei§u votre collaboration immediatement.
Maintenant, je sais a quel point nous avons eu de la chance avec Gundia et sa combinaison d’intelligence ainsi que sagesse qui nous a guide. Chaque fois que nous nous arretons pour des entrevues avec les femmes mongoles que nous rencontrons, elle rit et ouvre la voie a des conversations. Elle depasse la barriere de la langue, en formulant individuellement des questions pour chaque personne interrogee. Gundiy reste plus qu’un guide; elle reste une enseignante. Je pense qu’elle est particulierement consciente du mode de vie des nombreuses femmes et filles que nous rencontrons, parce qu’elle aussi, a grandi dans un petit village qui se degote a trois cents kilometres de Oulan-Bator, ou elle revait d’un avenir net, plus lumineux.
Une jeune cherie mongole qui part etudier a l’universite du Montana
Sous la direction attentive de son pere, elle a travaille dur, excellant nos autres etudiants, en particulier dans la classe d’anglais. Dans 1 effort Afin de ameliorer son anglais, cette dernii?re a demenage a Oulan-Bator Di?s Que elle avait seize ans et vivait dans un appartement de deux pieces avec ses deux s?urs ainees. Etudiant tard le apri?m, elle apprend le vocabulaire et la grammaire anglaise. A l’age de dix-huit annees, le boulot acharne finit code promo muslima par payer – celle-ci a remporte une bourse Soros beaucoup connue de longue date Afin de aller etudier l’anglais a l’Universite du Montana en Amerique.
Gandii semble s’i?tre concentre via des seminaires sur la science politique et les etudes de genre (differences hommes et jeunes femmes). Douze mois prochainement, elle est retournee en Mongolie afin d’effectuer quelque chose concernant les femmes de son pays. Elle a travaille en tant que chef de projet via 1 projet pour la jeunesse mongole qui comprenait quinze aimaks et 15 000 jeunes. (Les Aimak sont des tribus semi-nomades d’origine perso-mongoloide parlant le persan. Ils vivent sur les hauts plateaux du Nord-Ouest de l’Afghanistan, juste au nord des rues de Herat, ainsi qu’en Iran, dans le Khorassan. Wikipedia)
Mes Nouvelles technologies en Mongolie
Avec l’aide de deux organisations non gouvernementales de premier plan, Globe International et Mercy Corps, Gandii a distribue des technologies numeriques en Mongolie rurale, creant votre guide de 90 pages i propos des medias sociaux comme Facebook, Twitter et YouTube. Maintenant, elle va promouvoir sa technologie plus loin dans le desert; et au moment oi? Nomine pointe par sa fille ainee et nous evoque qu’elle espere bosser au domaine d’une nanotechnologie, les yeux de Gandii se sont allumes. Ils en parlent et echangent leurs adresses email.