Etude americaine concernant le chagrin d’amour

Des chercheurs de l’Universite du Colorado a Boulder se paraissent penches sur ce probleme en montrant dans une etude publiee en avril 2017 qu’un effet placebo, comme l’utilisation d’un spray nasal placebo, va s’averer efficace pour soulager la douleur mentale. Notre preuve que le chagrin d’amour est pris forcement plus au serieux par la communaute medicale.

Suivant les scientifiques du Colorado, le simple fait de croire qu’on est occupe a faire quelque chose concernant surmonter la rupture avec le ex(-partenaire) avec pourquoi pas un medicament placebo va influencer des regions du cerveau associees a la regulation emotionnelle et diminuer la perception une douleur https://datingmentor.org/fr/blackcupid-review/. Pour arriver a ces conclusions, les chercheurs americains ont mesure l’impact neurologique et du comportement de l’effet placebo concernant des volontaires qui ont recemment souffert d’un chagrin d’amour.

20 fois environ risque de depression

« Rompre avec le partenaire reste l’une des experiences des plus negatives au niveau emotionnel qu’une personne puisse vivre et cela pourra etre un declencheur important Afin de developper des problemes psychologiques, » a explique Dr Leonie Koban qui a participe a votre etude, dans un communique comptables. Elle releve que le risque de depression augmente de 20 fois (vingt fois) pendant l’annee qui suit la rupture. « Dans une etude, nous avons trouve qu’un placebo peut avoir des effets assez forts pour reduire l’intensite d’la douleur. »

Les chercheurs ont recrute 40 volontaires ayant souffert d’une « rupture non desiree », un synonyme moins romantique du chagrin d’amour, pendant nos 6 derniers mois. Les participants devaient prendre une photo de leur ex-(partenaire) et la photo d’un bon ami du meme sexe aupres d’un laboratoire d’imagerie cerebrale.

A l’interieur en machine a IRM fonctionnelle, les scientifiques ont montre a toutes les participants des images de leur ancien partenaire (l’ex) et devaient se rappeler de l’instant de la rupture. Puis les scientifiques ont montre des photos de leur ami. Ils ont aussi recu une douleur physique, un stimulus tres chaud au niveau de l’avant-bras gauche. Ces multiples stimulus ont ete repetes plusieurs fois en alternance et des participants devaient evaluer comment ils se sentaient, de 1 (tres mauvais) a 5 (tres beaucoup). Pendant votre moment, la machine a IRM fonctionnelle mesurait un activite cerebrale.

Mes regions qui se paraissent allumees pendant la douleur emotionnelle (chagrin d’amour) et physique (brulure) etaient similaires, meme si elles n’etaient nullement totalement identiques.

Une authentique douleur !

Mes resultats juste montrent un message important chez ces gens au c?ur brise affirme l’auteur senior de l’etude le Prof. Tor Wagner a l’Universite du Colorado de Boulder : « Reconnaissez que votre douleur reste reelle, neuro-chimiquement reelle. »

Mes participants devaient ensuite quitter la machine a IRM et ont recu un spray nasal. La moitie des participants pensait obtenir votre medicament avec votre « effet analgesique puissant capable de reduire la douleur emotionnelle » mais il s’agissait en fera d’un placebo, l’autre moitie savait qu’elle recevait votre simple spray a base d’une solution saline.

De renvoi dans la machine a IRM, les scientifiques ont de nouveau montre des images de leur ex et provoquer des stimulus douloureux aux participants. Le participants du groupe placebo sentaient moins de douleurs physiques et se sentaient plus sur un plan emotionnel, mais leur cerveau repondait de facon differente a la vue d’une photo de l’ex-partenaire.

Zones du cerveau impliquees

L’activite dans une partie du cerveau (dorsolateral prefrontal cortex), une region impliquee dans la regulation des emotions, a augmente de facon significative. A travers le cerveau, les regions associees a une rejection sont devenues silencieuses. De facon interessante, apres l’utilisation du placebo, i  l’instant ou des participants se sentaient le plus pertinent ils ont aussi montre une augmentation de l’activite dans une zone du cerveau appelee periaqueductal gray (PAG). Le PAG joue votre role cle dans la modulation des niveaux des opioides, Plusieurs antidouleurs, ainsi, des neurotransmetteurs du bien-etre comme la dopamine.

Correctement que l’etude n’ait pas regarde specifiquement si le placebo menait a la liberation de ces marchandises chimiques (ex. dopamine), les auteurs estiment que cela pourrait se produire.

« La vue actuelle est que vous avez des attentes positives et elles influencent l’activite dans la partie prefrontale du cortex, ce qui influence des systemes vis-i -vis du cerveau moyen pour generer des produits chimiques comme des opioides ou de la dopamine, » explique le Prof. Tor Wagner.

Plusieurs etudes precedentes ont montre que l’effet placebo permettait, meme si utilise seul, de diminuer la depression. En plus, si le placebo etait utilise avec des antidepresseurs, ces derniers etaient plus efficaces.

Petit cote « new age » ou developpement personnel

Le Prof. Wagner poursuit : « Le seul fait de faire quelque chose pour soi-meme en s’engageant au sein d’ quelque chose qui donne espoir pourrait avoir un impact. Dans plusieurs cas, le compose chimique au medicament pourrait etre moins important qu’en pensait par la passe. »

Mes auteurs estiment que un etude permet de mieux saisir comment la douleur emotionnelle agit au cerveau et permet aussi de mieux conseiller les gens d’utiliser le i?tre capable de de l’attente, dans ce cas prendre votre placebo, a leur avantage.

J’ai Dr Koban conclut le communique : « cela devient de plus en plus clair reste que les attentes et predictions ont une fort grande influence sur l’experience d’origine, sur De quelle fai§on on se sent et ce qu’on percoit. » La professionnel du Colorado releve que si vous avez souffert d’une rupture recemment : « Faire bien ce que vous croyez qui vous aidera a vous sentir plus probablement vous aidera a vous sentir plus. » Autrement evoque, Cela reste important de prendre un chagrin d’amour au serieux et de se soigner.