L’envers du decor de l’application de rencontres Tinder a de quoi faire vraiment trembler. Vous pensiez bien savoir… C’est pire que votre que vous pouvez imaginer !
“L’amour sous Algorithme” de Judith Duportail, la bombe mediatique de cette semaine
Comme tout le monde, l’ecrivaine Judith Duportail a commence a choisir Tinder un tantinet Afin de trouver l’amour, bon nombre pour voir De quelle fai§on ce qui marchait. Petit a petit, elle est devenue quasi addicte a l’application de rencontres au point de se poser des questions.
Un matin de 2017, elle decouvre dans un article publie via « The Guardian » que Tinder attribuerait a chaque profil une note de desirabilite. Elle decide donc de faire la lumiere sur tout cela et de connaitre quelle note lui a attribue l’application.
Cette enquete va la mener beaucoup plus loin qu’elle ne pouvait l’imaginer. Son livre « L’amour sous algorithme » est 1 melange de revelations et de recit de son histoire personnelle. Le objectif est a J’ai fois, au travers d’une enquete journalistique fouillee, de donner acces aux dessous de Tinder mais egalement d’expliquer, au travers de une propre histoire, quelles sont les implications Afin de les utilisateurs.
Environ 800 pages de precisions personnelles
Judith Duportail semble s’i?tre adressee directement a Tinder Afin de connaitre sa note de desirabilite. L’application n’a evidemment pas donne suite a sa propre demande. Aidee avec des specialistes, elle va finir via obtenir 1 dossier PDF encore de 800 pages !
Dans votre dossier, ses donnees personnelles, la copie de l’ensemble de ses conversations, de ses swipes, des matchs avec le inscription. Plusieurs annees de sa propre vie resumees. Elle decouvre que Tinder sait quasiment bien d’elle, mais aussi qu’elle n’est pas le webmaster qu’elle pensait etre.
Mes criteres de la note de desirabilite de l’application de rencontres Tinder
Petit a petit, elle regroupe comment la note de desirabilite (sorte d’Elo score) est attribuee a chaque utilisateur. Quelques criteres paraissent retourne en compte. Pour commencer le nombre de fois ou son profil a ete like, jusque-la, rien de fort surprenant. Mais l’application de rencontres va beaucoup plus loin en etablissant la niveau de revenu, votre intelligence (QI), etc. Pour cela, vos conversations passent dans un algorithme evaluant votre niveau de langage (utilisez-vous des mots complexes, avec un large panel de syllabes, etc.), votre profil Facebook (indispensable Afin de s’inscrire a Tinder) reste egalement passe au peigne fin, etc.
L’algorithme determine les profils qui vous seront proposes
L’objectif de l’application : vous proposer des profils qui vous ressemblent… En gros, on va pouvoir penser que l’on met des beaux au milieu des beaux (ce qui sous-entend qu’on laisse les moches entre eux), les riches au milieu des riches, nos pauvres au milieu des pauvres, les QI plus avec les QI+, etc.
En avancant dans ses investigations et en lisant les brevets, l’auteure decouvre que Tinder serait sexiste et ne noterait aucun la meme maniere les hommes et ces dames. Ainsi Judith Duportail precise dans le livre que si un homme ayant une bonne situation professionnelle obtient 1 bonus quant a sa note de desirabilite, une femme ayant un delicieux job verra sa note de desirabilite baisser.
Plusieurs elements qui font que toutes vos rencontres ne sont gui?re trop le seul fait du hasard et d’une proximite geographique. Dans une interview donnee a « moyen », la journaliste declare :
L’autre moment important a ete celui ou j’ai compris l’influence de l’algorithme dans mes ri?ves: concernant Tinder, j’habite comme dans une fete ou je n’ai meme pas le droit d’observer les hommes trop riches, trop beaux ou trop jeunes «pour moi», parce que l’algorithme nos ecarte d’emblee.
Il faudra comprendre que Tinder s’appuie sur l’economie de l’addiction, Le concept d’une recompense aleatoire, qui agit aussi fort que Notre cocaine et s’inspire Plusieurs machines a sous. Comme dans un spectacle de magie, quand on connait nos «trucs», on se laisse moins berner. Tout ce que j’ai decouvert au cours de cette enquete, on n’en a aucune initiative si l’on se connecte, aussi que c’est 1 systeme vraiment abouti…
J’esperais devoiler des sequences perso, montrer cela se passe reellement chez des utilisateurs, ce que les applications declenchent en nous de tres sombre. J’ai eu Berenice au cours du enquete, parce qu’elle reste l’archetype en grande gagnante de Tinder : elle reste magnifique, elle connait l’integralite des codes, elle reste petit et riche et pourtant, aussi cette dernii?re developpe une addiction. Elle se fait passer pour une prostituee pour savoir combien i§a coi»te, celle-ci a 1 esclave… Tinder appuie dans les fragilites.
Des revelations qui font trouble. Dans un recent post sur son blog, Tinder affirme avoir supprime l’Elo score (note de desirabilite) et que desormais, c’est promis, seule votre activite via l’application compte. Plus vous l’utilisez, plus vous verrez de profils differents. L’amour existe peut-etre encore !