De plus, la graisse ne correspond pas à la maladie ou au manque de santé.

De plus, la graisse ne correspond pas à la maladie ou au manque de santé.

Cela vient toujours comme une surprise quand je leur dis que je ne fais pas de perte de poids. Les yeux aux yeux. Les têtes inclinables. Les mâchoires tombent un peu. Ils pensent, ummmm, n’êtes-vous pas diététiste? N’est-ce pas, comme ce que vous êtes censé faire?

En tant que fournisseur de diététiste et de soins de santé, mon travail consiste à autonomiser les personnes ayant des compétences, des connaissances et la confiance nécessaire pour améliorer leur santé. Mon objectif est la santé, pas la minceur. Et la minceur ne correspond pas à la santé, ni la minceur une garantie de santé. De plus, la graisse ne correspond pas à la maladie ou au manque de santé.

C’est parce que la santé n’est pas une taille.

Je ne suis pas un diététiste de perte de poids parce que la science ne soutient pas l’idée que la perte de poids permanente est réalisable pour plus d’une petite minorité de personnes. Vous avez peut-être vu un article des dernières semaines dans le New York Times sur l’étude réalisée sur les plus grands participants perdants. L’étude a montré qu’après avoir perdu (et souvent reprendre) le poids présenté, leur corps a brûlé environ 500 calories de moins que prévu pour leur taille. Cela, avec le fait que leur corps produisait plus d’hormones qui stimule la faim, et moins d’hormones qui bloquent la faim, est la raison probable pour laquelle tous, sauf que l’un, avait retrouvé le plus ou plus du poids qu’ils ont perdu.

Beaucoup lisent cela comme de nouvelles nouvelles choquantes, mais vraiment, cela est bien connu sur le terrain depuis des années. Alors que l’étude après l’étude se bat sur quel type de régime ou de mode alimentaire est le plus utile pour la perte de poids (tous en regardant les 2 premières années), l’étude après l’étude montre que la grande majorité des personnes à la diète reprennent le poids qu’ils ont perdu et 60% de retraitent même Plus.

Beaucoup de gens se découragent lorsqu’ils entendent cela, surtout si vous avez dit le plus que votre vie que la santé (sans parler de votre valeur en tant qu’être humain) dépend de la minceur. Vous pourriez avoir envie d’abandonner.

Dans ma pratique, j’embrasse un paradigme appelé Health à toutes les tailles (HAE). En termes simples, HAES encourage les comportements favorisant la santé dans le but de la santé, pas la perte de poids. Les praticiens du HAES n’utilisent pas votre taille corporelle pour évaluer votre santé parce que nous savons que ce n’est pas très bon dans ce domaine. De nombreuses études montrent que les personnes en surpoids ou modérément obèses vivent aussi longtemps ou plus longtemps que celles qui sont dans la catégorie BMI de poids normal de toute façon. Au lieu de cela, nous évaluons la santé d’une manière beaucoup plus holistique, en regardant non seulement la présence ou l’absence de maladie physique / mentale, mais la forme physique, la connectivité sociale, les habitudes alimentaires et la relation avec la nourriture, le sommeil, le stress et bien plus encore.

Cela peut être une chose effrayante ou inconfortable pour entendre si vous vous sentez malheureux à votre taille actuelle. Outre la pression sociétale pour regarder d’une certaine manière, nous avons tous entendu tellement d’informations sur les dangers de la graisse, ce qui rend l’idée d’être un surpoids quelque peu terrifiant du point de vue de la santé. Mais une grande partie des recherches que nous entendons avec des statistiques de santé effrayantes est déformée. Ce n’est pas une épidémie d’obésité, c’est une épidémie de style de vie merdique, une épidémie de pauvreté, une épidémie de stress. La prise de poids est simplement un effet secondaire que certaines personnes éprouvent. D’autres ne le font pas. Si quelqu’un adopte des comportements malsains, mais ne prend pas de poids, la communauté médicale néglige souvent son risque plus élevé?

se concentrer sur quelque chose que nous ne pouvons pas contrôler (c’est-à-dire le poids) et non quelque chose que nous pouvons contrôler (c’est-à-dire les comportements), crée une énorme distraction. Vos actions finiront par aborder le nombre sur l’échelle, et généralement d’une manière qui n’est pas durable. Lorsque vous vous concentrez sur le poids, vous éliminez le sucre au lieu de voir pourquoi le stress vous amène à trop manger des bonbons et des muffins des collations tous les jours à 15 heures. Lorsque vous vous concentrez sur le poids, vous allez à la salle de gym et que vous vous écoutez sur la machine à vélo pendant 45 minutes, puis ne déplacez pas le reste de la journée parce que vous avez déjà obtenu votre entraînement, plutôt que de trouver de l’exercice que vous aimez et que vous pouvez soutenir et travailler mouvement tout au long de la journée. Lorsque vous vous concentrez sur le poids, vous abandonnez et recourons à des comportements malsains lorsque l’échelle cesse de bouger, car même si les changements de comportement que vous avez apportés étaient sains, ce que vous faites ne fonctionne pas.

Sur la perte de poids, car un résultat marginalise également ceux qui ont un corps plus grand. La diversité de la taille est une chose réelle. Tout comme certaines personnes portent une chaussure de taille 6, tandis que d’autres portent une chaussure de taille 9, des tailles et des hanches et des cuisses sont également en différentes tailles. Qui suis-je pour dire un coureur Ultramarathon de 250 lb, un yogi de taille plus qui peut tenir des poses avancées que je ne peux pas entrer même pendant une fraction de seconde, ou un instructeur de Zumba avec 200 livres à perdre est malsain? Ce sont quelques-uns de nombreux exemples de personnes qui mangent normalement et sont actives, mais ont un IMC qui les classait comme ayant une maladie. Bien sûr, ils pourraient suivre un régime, mais la science nous dit qu’il y a 95% de chances que cela fasse plus de mal que de bien. Même si le poids était un problème, prendriez-vous une pilule ou subirait une intervention chirurgicale qui avait 95% de chances d’aggraver votre état?

En tant que diététiste et fournisseur de soins de santé, je m’engage à ne pas faire d’abord préjudice. Et les régimes nuisent. C’est pourquoi je me considère comme un diététiste neutre. Le nombre sur l’échelle n’est pas un marqueur que j’utilise pour mesurer les progrès. Je n’ai même pas d’échelle dans mon bureau.

pour ceux d’entre vous qui savent que le régime ne fonctionne pas, mais l’idée de travailler avec quelqu’un sur une approche neutre du poids est quelque peu terrifiante, voici comment je mets la santé à toutes les tailles dans ma pratique :

Acceptation de la taille. Peu importe votre taille, je vous accepte comme vous et je travaille pour vous aider à faire de même. Personne ne sait quelle taille vous êtes censé être, alors travaillons à apprécier votre corps tel qu’il est maintenant. Je l’ai déjà dit et je le répète – vous ne pouvez pas bien prendre soin de quelque chose que vous détestez.

Building Body Trust. Vous avez des systèmes internes en place qui sont conçus pour vous maintenir à un poids santé, mais des années de régime ont supprimé ces signaux et signaux. En utilisant des stratégies d’alimentation intuitives, nous reprendrons ces indices afin que vous puissiez manger lorsque vous avez faim, arrêter quand vous êtes plein et savourer les aliments que vous aimez sans déclencher une cascade de culpabilité, de honte et de binging.

Adoptez des habitudes de vie saines. Les habitudes sont des choses que vous faites régulièrement sans même y penser. En utilisant une approche de petite étape, nous créons des habitudes saines qui vous permettent de profiter facilement de repas savoureux, nutritifs et équilibrés, de déplacer votre corps régulièrement et de subvenir à vos besoins émotionnels.

Et qu’en est-il de votre poids? Parce que faisons face, vous pouvez logiquement connaître toutes les statistiques sur les régimes alimentaires et la diversité corporelle, mais cela ne signifie pas que vous vous réveillerez et que vous vous sentirez à l’aise dans votre peau. Je sais que c’est effrayant de mettre votre confiance dans quelque chose où vous ne connaissez leur site web pas le résultat. Eh bien, je peux vous dire à coup sûr que l’une des trois choses se produira – vous perdrez du poids, prenez du poids ou restez le même. Je sais, cela n’aide probablement pas à atténuer les peurs, mais sachez qu’à moins qu’il y ait quelque chose de médicalement, votre corps n’est pas conçu pour continuer à prendre du poids sans s’arrêter. Et quoi qu’il arrive à votre corps, cela n’a pas d’énumération de votre valeur en tant qu’être humain.

Si vous êtes intéressé à travailler ensemble sur une approche neutre de votre bien-être, n’hésitez pas à vérifier Ma philosophie de coaching et mes services de coaching et me transmettre un e-mail. Heureux de mettre en place une consultation de téléphone gratuite de 15 minutes pour discuter de vos besoins et de voir si nous serions bien adaptés à travailler ensemble!

Je sais que la santé à toutes les principes peut être nouveau pour vous, alors sentez-vous GRATUIT de message ou de commenter avec toute question ou préoccupation que vous pourriez avoir!

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Bien que je ne sois pas vraiment grand sur les cocktails (le vin et les bières houblonnées ou aigres sont plus mon truc), je fais des exceptions. Surtout pour les choses fruitées, un peu aigres et pas trop fortes;) et bien sûr, quand je me divertisse, j’aime fouetter quelque chose de fantaisie.

Cette recette de cocktail à menthe de pastèque est parfaite pour siroter À l’extérieur les chaudes journées d’été et c’est un plaisir de foule si parfait pour se divertir. Quand je reviendrai de ce voyage, j’espère que mon mari aura notre nouveau hamac dans l’arrière-cour où je vais certainement me mettre en place pour l’après-midi avec ce cocktail et un bon livre (ou plus probablement, les e-mails de travail).

Cocktail de pastèque Recette de cocktails d’inspiration

Cette recette de cocktail à la menthe de pastèque est une sorte de riff sur le chia fresca, une boisson mexicaine fruitée faite en mélangeant du jus de fruits minces avec des graines de chia. J’adore ajouter du chia aux cocktails et aux jus, car cela ne change pas le goût, mais cela le rend plus joli et plus semblable à la pastèque. Le chia ajoute également une augmentation de la nutrition des graisses oméga 3 et des fibres.

Comment faire cette recette de cocktail à menthe de pastèque

pour faire ce cocktail de menthe à la menthe, obtenir une pastèque d’été super douce et mûre, de préférence un du marché des agriculteurs, de votre arrière-cour ou un Vendu sur le côté de la route, car ceux-ci ont tellement mieux que ceux que vous trouverez une épicerie, même lorsqu’elle est en saison. Comme pour les tomates, c’est un aliment où cela fait vraiment une différence. Sinon, voici une astuce facile pour trouver une bonne pastèque – recherchez-en une avec une tache crémeuse ou verte pâle sur l’écorce. Cela signifie qu’il mûrit avant de cueillir.

Parce que la pastèque est… eh bien, juteuse, vous n’avez pas besoin d’utiliser un presse-agrumes et que vous pouvez simplement le mélanger dans un mélangeur pour faire un jus. Mélanger avec du miel ou du sirop simple, de l’eau de coco et du jus de citron vert, puis filtrer dans un verre avec de la glace, du chia et de la menthe confuse. Ajoutez une touche de vodka ou de rhum, ou buvez-la vierge!

Recette de cocktails de mentme de pastèque

en fait assez pour 4-6 cocktails

ingrédients

1/4 d’une grande pastèque, coupé en passant par Cubes, ensemencés

1 – 1 ½ tasses d’eau de coco

jus de 1 citron vert

1 cuillère à soupe de miel

1 cuillère à soupe de graines de chia

Monnaie fraîche

Vodka ou Rum

Instructions

Ajouter de la pastèque, de l’eau de coco, du jus de citron vert et du miel à un mélangeur. La purée jusqu’à ce qu’elle soit bien combinée. Ajoutez un peu plus d’eau de noix de coco si nécessaire pour le déplacer.

Placez un tamis à maille fin sur un pichet. Versez soigneusement la purée de pastèque à travers le tamis. Si cela ne vous dérange pas une petite pulpe, sautez cette étape. Après avoir tendu, incorporer les graines de chia.

Ajoutez un brin de feuilles de menthe au fond d’un grand verre. Avec un muddler ou une cuillère, écrasez légèrement pour libérer son arôme. Ajouter de la glace, une touche de vodka ou de rhum, et compléter avec une purée de pastèque.

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Il est indéniable que le travail de l’image corporelle est dur. Certains jours, cela semble impossible. Il ne peut guère se souvenir d’une période de ma vie où ce n’était pas un défi dans certains aspects. Dans notre société, les messages externes de «You Are Are East assez» commencent tôt et s’étendent dans la vie avec des rappels quotidiens.

Chaque jour, nous sommes exposés à des «déclencheurs». Entrez dans le gymnase et lisez le faux-motivation #fitspo sur les murs. Ouvrez Instagram sur votre téléphone et voyez des modèles qui représentent le

avec beaucoup de travail acharné et des changements intentionnels dans la pensée, ces choses peuvent devenir moins un déclencheur. Et peut-être qu’un jour vous pourrez même dire “Va vos normes de beauté”. Mais jusque-là, nous pouvons apprendre à reconnaître que le bonheur qui est censé accomplir un «corps parfait» est une illusion, car même ceux qui ont les corps les plus attrayants conventionnels trouvent de nouvelles façons de modifier leurs apparences. Nous pouvons lentement commencer à réaliser que peu importe à quel point nous pouvons nous rapprocher d’un corps «idéal», plus nous nous en sentirons.

Il peut y avoir certains moments et situations où les sentiments d’insuffisance et de corps peuvent L’insatisfaction devient insupportable. Pour certains, c’est leur maison d’enfance où ces sentiments se sont formés. Pour beaucoup, c’est un vestiaire. Pour d’autres, ce sont des endroits où d’autres s’engagent dans des discours corporels négatifs, comme par la piscine, au travail ou sur les réseaux sociaux. La liste continue.

Il est assez facile d’identifier ces déclencheurs. D’un autre côté, pouvez-vous identifier des endroits où vous vous sentez en paix avec votre corps? Un endroit où vous ne vous sentez pas gêné et inconfortable dans votre peau, mais plutôt où vous vous sentez libre, content et en harmonie avec votre corps. Remarque, je ne dis pas que vous vous sentez nécessairement amoureux de votre corps dans ces endroits, et bien que l’amour du corps soit certainement souhaitable, l’acceptation du corps et la paix sont de bons endroits pour commencer. Lisez l’ancien article de blog de Rachael sur l’exploration du respect du corps, de l’acceptation, de la confiance et de l’amour pour en savoir plus sur ce sujet.

Aujourd’hui, je vous encourage à prendre le temps de penser aux endroits où vous vous sentez confiant et en paix avec votre corps. Notez une liste et ajoutez-la à votre boîte à outils autonomes. Reconnaître ces «endroits sûrs» où vous vous sentez bien, confortable et en paix avec votre corps, puis passer intentionnellement de temps là-bas peut vous aider à reprendre ce sentiment dans d’autres domaines et espaces de votre vie.

Besoin de quelques exemples? Je vais partager quelques-uns de mes «lieux sûrs».

Je me sens en paix dans mon corps quand je suis…

Riding dans ma voiture avec mes fenêtres en écoutant mon Musique préférée, sentant mes cheveux souffler dans le vent.

Passer du temps avec mes petites amies les plus proches qui (heureusement) ne s’engagent pas dans des discussions sur le corps négatives.

dans mes gommages au travail en marchant du patient au patient en train de se sentir confiant à propos des soins que je fournis.

Danser dans ma maison et sentant que mon corps bouge d’une manière qui me rappelle combien Mon corps est capable.

Et vous? Quand et où ressentez-vous le plus en paix avec votre corps? Partagez les commentaires!

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pour moi, la course est un stress Selon… la plupart du temps. J’adore être dehors, courir devant les vieilles maisons de notre quartier. J’adore la sensation que je ressens dans mes jambes quand je cours, et étrangement le sentiment d’une douleur légère moi le lendemain. Je n’aime pas la sensation de ma poitrine brûler ou d’être vraiment à bout de souffle, c’est pourquoi je cours habituellement à un rythme lent ou courir / marche. La course me donne une chance d’écouter mes podcasts préférés – actuellement je rattrape de vieux épisodes de trucs que vous avez manqués dans le cours d’histoire et mon meurtre préféré – mais parfois j’ai envie de me brouiller le jaune Bodak en répétition.

Bien que la course soit un soulagement du stress pour moi maintenant, il ne l’était pas. Quand j’étais au lycée, j’étais dans une équipe de cross-country vraiment compétitive et j’étais conscient d’être le plus lent.

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