Le convoi qui le conduisit aupres du jardin se constituait de quatre chevaux, en princesse, d’un cocher qui dirigeait nos chevaux, de soldats et de quelques membres d’une cour. Un deva une sphere Tusita (quatrieme sphere), vit que moyen approchait pour le prince Siddhattha de renoncer a l’existence princiere Afin de partir dans la foret. Juste avant que la diligence ne penetrat au jardin royal, votre deva fit apparaitre le premier des quatre grands indices. Il crea 1 vieillard tout edente, les cheveux blancs, la peau fripee, ridee de toutes parts, le dos courbe. Il tremblait en se tenant concernant sa canne. Tres age et l’apparence usee, le vieillard se dressait devant l’entree du jardin. Le deva fit de telle manii?re que seuls, le prince et le cocher puissent l’apercevoir. Le prince, qui n’avait jamais vu que des jeunes personnes, fut tres surpris via cette vision. Choque, il s’enquit aupres du cocher :
« Ses cheveux ne semblent pas comme ceux des autres ; ils paraissent bien blancs.
Son corps n’est pas non plus comme celui des autres ; il semble use et le dos est tout courbe. Toutes ses dents sont tombees. Cela semble n’avoir plus que les bras sur les os. Cela tremble de toutes parts. Qui est-ce ?
— C’est un vieillard. Une personne parvenue a Notre vieillesse.
— Auparavant, je n’avais vu de personnes aux cheveux blancs (il repeta toute la description), ainsi, n’en avais jamais entendu parler, non plus. Comment se fait-il qu’il soit ainsi ? Expliquez-moi !
— Di?s Que le quotidien arrive a une certaine duree, on devient tel i§a, bien l’organisme deperit.
— Moi aussi, serai-je inevitablement ainsi, votre jour ?
— Tous les etres vieillissent de la sorte. Le fait d’avoir un corps amene inevitablement a connaitre la vieillesse.
— Je peux donc connaitre moi aussi la vieillesse. J’suis si bouleverse que ne veux plus aller au jardin. Faites demi-tour et rentrons au palais ! »
J’ai vision du premier des quatre grands indices provoqua chez le jeune prince une profonde prise de conscience. Il demeurait epouvante a l’idee qu’il connaitrai irremediablement la vieillesse. Etonne d’observer la diligence si vite revenir au palais, le roi interrogea le cocher :
« Comment se fait-il que vous ne soyez jamais restes au jardin royal ?
— Notre prince n’a meme nullement voulu y penetrer tant c’est bouleverse, Sire.
— Qu’a-t-il beaucoup pu le bouleverser ?
— Cela a apercu 1 vieillard, Sire. »
Notre roi comprit aussitot votre que le fils a du ressentir au contact de cette vision. Tres soucieux a l’idee qu’il puisse decouvrir les trois autres signes, le monarque fit elargir d’une seconde distance, depuis laquelle on ne est en mesure de plus entendre une vache meugler, le perimetre vierge de tout facteur susceptible de lui (au prince) faire lire l’un des trois autres signes. Cela fit egalement multiplier les rejouissances et nos distractions dont disposait deja son gamin Afin de tenter d’effacer sa desillusion.
Le malade
Quatre mois prochainement, ayant de nouveau le desir de se rendre au jardin royal, le prince Siddhattha fit atteler la diligence princiere et se mit en chemin, escorte de soldats et de quelques membres en cour. Juste avant que la voiture ne penetrat dans le jardin, le deva (celui qui fit apparaitre le premier des quatre grands indices) fit apparaitre le deuxieme des quatre grands signes. Cela crea votre malade, la peau recouvert de pustules, ronge par la maladie baignant lamentablement dans ses propres excrements et urines. Cela n’avait pas la force de se lever, ni de s’allonger sans elle. Profondement marque par la douleur, l’apparence cadaverique et vide de sante, le malade se tenait devant l’entree provare questo sito du jardin. Le deva fit de telle manii?re que seuls, le prince et le cocher puissent l’apercevoir. Le prince, qui n’avait jamais vu que des personnes en pleine sante, fut tres surpris avec cette vision. Choque, il s’enquit aupres du cocher :
« le regard de cette personne ne sont jamais comme ceux des autres. Ils demeurent ternes et a peine entre-ouverts. Sa voix non plus n’est nullement comme celle des autres. Cela gemit tel s’il est continuellement en proie a J’ai douleur. A l’inverse des autres gens, il semble etre condamne par une immense faiblesse. Qui est-ce ?