En 2015, 28 individus ont ete accusees durant la toute premiere annee d’la nouvelle loi sur le voyeurisme, interdisant le partage d’images perso sans consentement, en fonction de Statistique Canada.
Ce qui etait i l’origine une simple retrouve a partir de l’application Tinder s’est transforme en accusations criminelles en vertu d’la nouvelle loi des cybercrimes. Un homme de 25 ans aurait menace de publier des images intimes d’une femme de 22 ans, qui aurait refuse d’avoir une relation sexuelle avec lui, d’apri?s des documents de la cour du Manitoba.
La Gendarmerie royale de ce Canada (GRC) a porte des accusations, en mars, d’extorsion, de voyeurisme et d’appels telephoniques indecents contre l’homme.
L’actrice est entree en relation avec la police a la fin du mois de fevrier apres qu’un echange de messages documents eut degenere en requi?tes de relations sexuelles, par rapport aux documents utilises par la police. Mes policiers ont obtenu un mandat de perquisition De sorte i fouiller le domicile de l’homme.
A lire aussi :
- Videos prises a l’insu de dames : votre Calgarien accuse
- Des femmes et adolescentes photographiees a un insu au sein d’ un centre commercial d’Oshawa
Aucune des accusations n’a ete prouvee devant un tribunal. L’avocat de l’accuse a refuse de commenter l’affaire. Notre proces debutera le 21 septembre.
Pour des raisons de confidentialite, Radio-Canada n’identifie aucune des parties dans ce dossier ni Notre province ou elles se trouvent actuellement.
Une retrouve via une application populaire
La femme a eu l’homme concernant l’application de rencontre Tinder. Selon la declaration qu’elle a faite a toutes les policiers, ils se paraissent rencontres a plusieurs reprises en l’espace de deux semaines.
I l’occasion de leur breve relation, l’homme a obtenu des images intimes a au moins deux et peut-etre trois reprises, selon la declaration en femme.
Celle-ci affirme lui avoir initialement envoye deux photos de le plein gre, ce qu’elle qualifie de regrettable. Elle a egalement evoque a Notre police que l’homme l’avait prise en photo contre le gre.
Selon les documents de cour, l’actrice croit qu’une video a « possiblement ete prise parce qu’elle croit avoir vu 1 portable cellulaire lors tout d’un incident dans son camion ». Elle allegue que J’ai rencontre n’etait pas consensuelle et avait exprime son desir de ne pas avoir de relations sexuelles a l’exterieur.
Dans une conversation par messages documents deposee comme preuve a Notre cour, l’homme menace la femme de publier des images intimes et lui evoque que, si elle ne vient pas a sa retrouve Afin de avoir une relation sexuelle avant 21 h 30, « l’ensemble des videos vont i?tre partagees ».
« Ce n’est pas de l’immaturite, c’est 1 levier. Ca s’appelle de l’extorsion. Ca fait de moi une personne tres intelligente et non pas immature », disait l’homme.
Lorsque la femme l’informe que, si les images deviennent publiques, elle viendra voir nos policiers, il repond : « Appelle les policiers. Il n’y a personne qui peut faire quoi que votre soit, aussi le gouvernement ne peut gui?re m’arreter. C’est la beaute d’Internet et des medias sociaux. rencontrer des cГ©libataires chinois Un coup que c’est envoye, il n’y a rien a Realiser. »
La GRC a execute le mandat de perquisition chez l’homme le 20 mars, et 15 objets ont ete saisis, dont un ordi portable.
Accuse de voyeurisme
L’homme est actuellement soumis aux conditions d’une ordonnance une cour de 2017 a la suite d’un cas au sujet de une autre femme. Cela doit rester a au moins 100 metres de le lieu d’embauche, de sa residence et des autres endroits ou elle se rend regulierement. L’ordonnance prend fin en 2020.
En mars 2018, l’homme fut accuse en vertu en nouvelle section sur le voyeurisme du Code criminel, qui indique que la distribution d’une image intime sans le consentement d’une personne representee est un acte criminel.
Selon Statistique Canada, 28 gens ont ete accusees durant la premiere annee apres l’entree en vigueur une nouvelle loi, en 2015.
Tinder affirme appliquer une politique de tolerance zero en matiere de harcelement et de conduite inappropriee de toute nature. L’entreprise encourage ceux qui croient avoir ete victimes d’un crime d’informer des policiers et ajoute qu’elle collaborera pleinement a l’enquete.